L’eau en tant qu’élément tient une place essentielle dans la vie de Courbet, né à Ornans. Lors de séjours sur la côte normande, il peint ce qu’il dénomme des « paysages de mer ».
Les Casseurs de pierres (Gustave Courbet, 1849), Le Déjeuner du casseur de pierres (Guillaume Fouace, 1885) et d’autres tableaux, sculptures, photographies du XIXe et XXe siècles ont permis à certains travailleurs de sortir de l’invisibilité.
Cette fiction historique, écrite à la première personne, fait revivre Jacques Landry, homme de la terre devenu maire qui, depuis son moulin -devenu célèbre à Houlgate- a su affronter la modernité et l’histoire en marche.