Le Déjeuner du casseur de pierres
Les Casseurs de pierres (Gustave Courbet, 1849), Le Déjeuner du casseur de pierres (Guillaume Fouace, 1885) et d’autres tableaux, sculptures, photographies du XIXe et XXe siècles ont permis à certains travailleurs de sortir de l’invisibilité.
Envoyé dès parution 22 mai 2021
Le Déjeuner du casseur de pierres
de Pierre Coftier, auteur de plusieurs ouvrages L’Eveil d’un monde ouvrier (1789-1919), Mineurs de charbon en Normandie (XVIIIe–XXe siècles), L’Amiante en Normandie (1886-1960), L’Apothéose de la canaille coll. Autour d’un tableau.
Les Casseurs de pierres (Gustave Courbet, 1849), Le Déjeuner du casseur de pierres (Guillaume Fouace, 1885) et d’autres tableaux, sculptures, photographies du XIXe et XXe siècles ont permis à certains travailleurs de sortir de l’invisibilité et de s’exposer dans l’art. Que représentent leurs visages, leurs corps, leurs gestes ? Pourquoi d’autres demeurent-ils dans l’ombre ?
Il est des métiers, partout nécessaires, mais peu montrés. Ainsi en est-il du casseur de pierre dont l’existence recule avec le degré d’industrialisation d’un pays. Hommes, femmes, enfants travaillent dans une carrière ou sur le bord des routes, isolés ou en groupe. L’image qui en est donnée oscille entre réalité et caricature. Le pittoresque domine. Derrière l’anecdote pointe parfois la compassion.
112 pages format 21 x 26 cm
22 euros à parution en mai 2021
18 euros franco, en souscription, jusqu'au 30 avril